L’élection étonnante de Donald Trump à la présidence des États-Unis a éclipsé les événements économiques et boursiers du monde pendant le trimestre. Les marchés ont semblé s’attarder seulement aux aspects positifs de la plateforme du Parti républicain, soit les réductions d’impôts, la déréglementation et les dépenses d’infrastructure, faisant largement fi des nouvelles tendances au populisme et à des politiques commerciales protectionnistes qui gagnaient des adeptes, et ce, non seulement aux États-Unis, mais aussi dans plusieurs autres régions du monde.
